Philippe Close sur Gial: “Il ne faut plus d’indépendants à la tête de ces structures”

Philippe Close estime notamment que le problème réside dans la pratique des “conventions de management dans le chef des directeurs d’ASBL“.

C’est en tout cas ce qu’à déclaré le bourgmestre de la ville de Bruxelles dans  les pages de La Libre Belgique et de la Dernière Heure ce mercredi. Face aux récents remous autour de l’ASBL GIAL, le maïeur de la commun bruxelloise réagit. Ces conventions de management font partie d’une pratique qui doit, selon lui, “cesser à la Ville“, et qui a entre-temps d’ailleurs été arrêtée au sein de GIAL, où “une fonctionnaire” a été mise à la tête de l’association, souligne-t-il.

Il ne faut plus d’indépendants à la tête de ces structures“, résume le maïeur, interpellé au sujet de la durée (17- ans) du contrat de consultance passé par GIAL avec l’expert Michel Leroy. Cette collaboration aurait dû faire l’objet d’une mise en concurrence, selon un récent audit commandé par la nouvelle direction de l’ASBL, qui a été révélé par Le Vif. Philippe Close promet par ailleurs de “fusionner une partie” des ASBL liées à la Ville, et de “mettre en place des contrats de gestionpour les “plus grosses“, soit 7 “filiales de la Ville” (dont le Marché matinal et 4 hôpitaux). “Nous avons déjà lancé le marché afin de travailler avec une firme extérieure chargée de nous aider à rédiger ces contrats de gestion“, qui ne seront cependant approuvés qu’après les prochaines élections communales, précise-t-il.

Avec Belga

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21 février 2018 - 11h00
Modifié le 21 février 2018 - 13h11